Chers Full Sentimentalos,

Ce papier n’est pas forcément celui que j’avais imaginé vous écrire de base, il s’agit d’un hors-série, plus petit, plus moyen, beaucoup plus grand effectivement ou différent.

J’ai passé des jours à vous écrire, 24 feuilles au sol, un arbre entier, qui aurait probablement pu devenir le meilleur article de la bibliothèque rose de Full Sentimental. Calmez-vous, calmez-vous. Le meilleur, cependant j’en ai décidé autrement. J’ai décidé de m’écouter, de tout foutre en l’air, de renverser mon café, la table et mettre le feu aux papiers. J’ai décidé après avoir fait grève pendant sept semaines en pages blog, de mettre la carotte à notre rendez-vous du mercredi, de vous mettre le potager tout entier, afin de me faire « plaisir » et d’arrêter de courir après le vent, les gens, le bonheur des autres. De me laisser vivre, un peu. Me foutre la paix, de ne pas me stresser, du moins, moins.

En effet, avec la plus grande des honnêtetés, j’ai eu ma dose, la dose de bêtises humaines ces dernières semaines. À jouer à la police sur les réseaux sociaux, à recadrer le monde entier, à hurler tel un chien enragé, jusqu’à passer pour une folle à lier qui vrille sans raison, dans la vie ou en story. (Mon peu d’heures de sommeil reste un facteur supplémentaire).

J’ai recommencé ce texte, une dizaine de fois sans comprendre pourquoi. J’ai eu mal aux yeux, j’ai avalé des dragibus qui me collent aux dents par dizaine, développée une urticaire prononcée, des plaques sur ma peau neige par le stress occasionné. Je me suis laissée envahir, submerger par l’émotion des autres, mais surtout par les miennes. Je me suis tellement angoissée et stressée que j’ai cru y laisser la peau, ma carcasse tout entière à force d’essayer de comprendre, à tenter de rester concentrée et de vouloir exprimer ce trop-plein dans mon cœur, dans mes pensées, un trop-plein de choses que je ne sais pas toujours maîtriser, les émotions.

De base, cet article était destiné aux vilains, aux brigands, aux voyous, aux voleurs, aux pilleurs, aux copieurs, aux pervers, aux charognards, aux gens qui sabotent mon myocarde et ma santé mentale sur les réseaux, et non pour de faux, dans le vrai et le concret également. Bref, un article destiné aux connards et aux salopes. Parmi les 24 papiers, venant d’être détruits par mes soins, il y a 3 ou 4 matins, je fus grossière, mauvaise, un démon, un Grimlins à qui l’on a osé donner à manger après minuit. J’ai utilisé le champ lexical des ténèbres et de l’obscénité profonde, totalement dépossédée de bon sens, j’en ai voulu au peuple virtuel, au lieu de le remercier. Et j’en suis désolée pour les personnes ne méritant nullement ces traitements.

J’ai eu trop de gouttes d’eau qui ont fait déborder le vase à fleurs. La goutte de la fille bien bonne et un peu conne, notamment avec les gens de manière générale, mais aussi avec la camaraderie de la poésie sur IG, (les pires, les pires…) Les mots, toujours les mots, on les boit, on les mange, on les vit, on les déteste aussi. Si beaux, mais parfois si faux, car ils sont adressés au carnet virtuel, mais pas seulement à une seule tourterelle. (La rime)

J’ai vu rouge, j’ai vu l’irrespect, j’ai vu sang et puissant, très puissant. J’ai pleuré, détesté pour diverses raisons jusqu’au harcèlement des réseaux sociaux. Et ça, ce n’était pas beau. C’était laid, fade, dégueulasse. Il ne faut pas croire que tout est rose au pays du 2.0

J’attends encore pour me prononcer à ce sujet un peu flou, où les écrivains semblent être ces êtres de bienveillance, beaucoup certes. Mais, où y rôde l’hypocrisie de « je te copie », la concurrence, la perversion, le baratin, le narcissisme, les menteurs, les manipulateurs, un panel de couleurs vert caca d’oie qui laisse plus qu’à désirer, à gerber.

Une médiocre passade, qui peut laisser croire que je vrille tous les lundis, mercredis et samedis en ouvrant certains messages au lieu de rester dans le zen total. Une chose totalement impossible, qui me pousse à retarder la sagesse tant attendue par ma bien bonne mère, m’incitant à désinstaller tous réseaux sociaux de mon smartphone. Ici, une seconde chose assez improbable en raison du nombre de billets que j’ai pu lâcher pour ce blog ainsi que le temps consacré à vous raconter mes vérités, mes gloires et mes beautés (presque).

Vous l’avez compris, nous quitter ne sera pas au programme, mais en toute honnêteté je me demande encore pourquoi je ne parviens pas à temporiser le chaos intérieur, la sollicitation permanente, ce remue-ménage bouillonnant. Toutes ces émotions me causant la perte de contrôle lorsque l’on m’agresse, que l’on me blesse, lorsque l’on se joue de moi, alors qu’il ne s’agit que d’un écran ou de quelques gens, Full Sentimental ou l’éponge des sentiments. L’ÉPUISEMENT.

Oui l’éponge, celle qui absorbe, celle qui dégorge, celle qui s’épuise, celle qui ne tolère pas l’injustice. Qu’il soit question de vie personnelle, virtuelle, la sensibilité reste le sujet même sur lequel j’ai entendu de vagues clichés débiles et stériles me poussant à vous raconter ma semaine passée, afin de remettre un peu l’église au milieu du village et faire comprendre comment se traduit l’hypersensibilité, la haute sensibilité, la profonde sensibilité. Celle qui me caresse la peau et celle qui m’arrache le cœur. Celle bien loin de la maladie du siècle tant répétée qui me fait hurler.

D’ailleurs, Jean-Michel, si tu me lis, je t’apprécie beaucoup, tu sais, mais la sensibilité ne fait pas de moi la tempête cyclothymique. NON. Mon propre trouble reste l’humain lui-même, celui qui juge, déshumanisé, celui qui me fait fuir et pleurer. Et disons que la vie de merde peut aussi accentuer mon petit bonheur lorsqu’il se présente à moi, comme mes moments où je ne me montre pas, car j’ai trop de rage, trop de pleurs, trop ce que je ne dévoile finalement pas, par pudeur, par respect, car finalement, nous avons tous la vie, que l’on a choisie. Voilà.

Lundi semaine passée à midi, j’étais de sortie, je discutais dans un brouhaha absolu, avec quelqu’un et quelqu’une sur des faits personnels me causant une certaine gêne et confusion au point d’avoir les larmes qui me montaient par le fait de raconter, de penser, d’envisager certains points de mon avenir non maîtrisables. Les larmes, le sel de ces dernières et le chaos intersidéral dans mon cœur après avoir échangé, mais probablement en raison d’avoir un peu trop festoyé durant ce long week-end de 3 jours que je me suis gracieusement accordée avec une amie à Paris. Bref, c’est autre chose.

Durant cette conversation, les larmes se dessinaient pour une seconde fois, de mes yeux à mes joues, de mes lèvres à mon cou. Mon mascara laissant apparaître quelques traces sur ma peau blanche et rosée ne pouvant trahir ce que j’essayais de dissimuler devant tant de gens au restaurant. J’étais fatiguée de mon week-end, du bruit pesant, de penser constamment, de raconter, d’essayer de me concentrer, à écouter à travers les lumières blanches des spots du bar qui pointaient mon visage. Cependant, malgré l’inconfort, je vivais les émotions, je n’étais ni triste, ni heureuse, ressentir l’instant, les vivre pleinement, mais soyons honnêtes, je m’adaptais en quelque sorte, je ne pouvais quitter la table et rentrer chez moi et passer pour ce que je n’étais pas. Ou peut-être pour ce que l’on essaie de me faire croire, faible, fatiguée, fragilisée.

Ne pouvant plus tenir sur ma chaise, à remuer du pied, j’engloutis ma laitue et quelques bouts de poulet ainsi que le sel de mes pleurs, ceux de bonheur, ceux de joie, ceux surtout provenant de mon anxiété tant redoutée, me poussant à m’enfuir. Fuir, la fuite, toujours, afin de pouvoir me retrouver, se retrouver et souffler de toute la charge émotionnelle que je venais de me mettre sur le dos en ayant finalement accepté de faire un restaurant sans en avoir grandement envie au lieu de m’écouter et de me reposer. Je n’avais pas su dire non, car je voulais faire plaisir. Hélas, mauvaise action, encore une et sans raison.

Plus tard dans la même journée, j’ai entamé une autre discussion à travers un écran, avec un ami oui, à qui je souris. J’étais prise dans un émotionnel incontrôlable après avoir livré des sujets profonds et sincères. Je pleurais encore, non pas pour l’histoire racontée, mais pour la sensation de s’être livrée et peut-être être comprise aussi, soulagée mais dévorée entièrement par le sentiment de l’émotion prenante, de l’instant, de mes mots, de ses mots, une forme de compassion, d’un lien virtuel mais sincère, oui c’est ça, la sincérité de l’humain vous voyez, celle qui manque parfois, celle qui conforte, celle qui fait tout ressentir intérieurement, l’envie, celle de ressentir la vie en quelque sorte. Loin physiquement, mais proche par le lien, de l’âme, de l’esprit, du cœur, je l’ignore encore, mais un lien humain. Me rendant à la fois perplexe et souriante, les larmes aux yeux d’un presque bonheur de pouvoir vivre un instant simple et véritable, où l’on rigole, où l’on pleure pour de vrai où l’on aimerait croire que tout est possible, sans trop se tromper.

Le soir venu, je courais en direction de mon amie Amélia, ma jumelle de cœur et d’esprit, une ultra, intensément sensible comme moi, chez qui je retrouve une grande partie de moi-même, de ma vie, une âme sœur avec qui nos similitudes nous poussent à braver les interdits, à nous soutenir, à se faire la malle sur les marches de Montmartre, à devenir le gang de la poésie douce, mais pimentée. Ouais, si vous saviez en vrai. De la tristesse à la joie, de la joie au désarroi, un émotionnel à toute épreuve qui m’a procuré bonheur et épuisement en l’espace de quelques heures. Je lui confiais mes nouveautés, mes projets, je levais le voile de mes secrets.

Un quotidien exaltant, déroutant, transcendant, quand l’interaction avec l’autre devient une piste de danse, mais aussi une patinoire sans aucune pratique et parfois même dans le noir. Le non-contrôle, lorsque la sollicitation des autres et de la vie nous absorbe ou sourit. 

Deux âmes vagabondes dans Paris la nuit, notre amitié et nos envies de folies de tout recommencer nos vies, de les idéaliser, de rêver, de prévoir, d’y croire. FORT, SI FORT. Les rêveuses, les penseuses, la sensation permanente de ressentir ensemble, d’être comme deux adolescentes, des femmes adultes qui ont décidé de garder à tout jamais leurs âmes d’enfants, pour vivre ici et ailleurs, là où se dessine finalement leur propre bonheur.

Il s’agit, de la seule et unique, ma confidente (Maëva aussi) avec qui les choses sont comprises à travers un seul regard, à travers un mot, à travers un silence, à travers un sourire, un rire, une larme, une émotion. Colorée, comme le soleil de sa personnalité, le jaune brûlant, l’orange foudroyant, le noir le soir, le rouge ardent, mille et une couleurs passionnément.

Une amitié nouvelle, peut-être trop passionnelle, fusionnelle pour certains, qui diront de se méfier, parce que l’on ne connaît absolument rien sur ce lien, mais que voulez-vous… nous, on aime directement, on le ressent, on ne peut faire semblant, on veut tout et instantanément. Un regard, un mot, une vie se dessine et même si nous devions être déçues, nous aurons vécu.

Beaucoup, ne comprennent pas, cet engouement, l’emballement, cette fusion, cette folie permanente de s’attacher, de tout changer, d’aller là où les autres ne sont pas et pas allés, dans un monde soi-disant imaginaire dans lequel mon Paris serait susceptible de devenir une fête gigantesque, un flash mob ambulant, la rencontre entre poètes, écrivains, tous les artistes réunis, tous les gens avec un cœur et quelques sentiments, et puis, vous tous chers lecteurs.

Personnellement, je trouve cela beau, de croire que l’humain existe avec les couleurs, l’amour et les valeurs loin d’une société un peu malade, complètement perdue, paumée ne sachant plus aimer. Qui vous pointe du doigt lorsque ressentir devient une pathologie, tellement tout est devenu rare à quelque part.

J’ai bien conscience que pour vivre dans ce monde, ma seule solution serait de bosser à Disney afin de concrétiser les faits. Mais les contes de fées… Ne sont même pas destinés aux enfants, ils sont pour les méchants, car ce sont eux qui les inventent finalement. (Je n’ai jamais cru au prince, même si moi-même reste une princesse, de pacotille, afin d’acquérir le respect et d’être traitée de la sorte, je mérite bien cela et quelques chocolats).

Qu’il soit question d’amour, d’amitié, de moments de vie, de faits et de gestes, je ne contrôle pas toujours tout ce que le quotidien me met face à moi, vous non plus, mais… je réagis de manière parfois brutale, où l’on dira de moi que je suis trop dans la colère, trop dans l’excitation, trop dans mes excès, dans cette impulsivité ou à trop vite dévoiler, faire trop confiance, car finalement, de crédulité, on dira aussi que je suis née. Difficile de se dire que tout le monde ne pense pas et ne ressent pas comme soi.

Ressentir, oui, ressentir, semble faire si peur à notre société où tout va trop vite. Cette société qui m’a tant collé l’image de fille, de femme, un objet de grande fragilité en raison de cette perception des choses à travers l’intégralité de mes sens. Au point d’avoir du me préserver, de ce que l’autre émane par ses propres émotions, celles qui m’apportent, celles qui me transportent, celles qui parfois m’insupportent et me fanent à en perdre quelques pétales.

De trop ? Non, je n’exagère pas, je n’en fais pas trop, je n’aime jamais de trop, jamais assez, un trop qui me colle à la peau, à fleur de peau, fleurie du cœur et de l’esprit, j’aimerais que les autres le soient aussi. Le trop, ce boulet, ce cadeau, ce fardeau, l’ami trésor causant parfois beaucoup d’inconfort. Où l’exagération semble être la catégorisation. La source des réflexions, de reproches comme d’incompréhensions.

L’hypersensibilité, la haute sensibilité, la profonde et exacerbée sensibilité, celle tant dévastatrice pouvant causer tant de déceptions, de mal comme rumination, mais à la fois cette force féroce, celle qui anime, oxygène, nous prend à travers les cinq sens, celle qui me transcende, me dévore, celle qui fait ce que je suis, avec un cœur sur la main, mais qui n’a aucune peur à l’ouvrir pour quelqu’un. Celle qui me fait me lever chaque matin, partir à la découverte du plus loin, de l’encore, du plus fort, du plus exaltant. Un tout faisant de moi une romantique tragédie humaine dans une société bien plus terre-à-terre que je ne suis guère, face à un ennui permanent lorsque la réaction des autres reste totalement platonique, stoïque, bien loin du fantastique qu’est censé être l’humain dans ma propre réalité.

La sensibilité, la haute sensibilité, est devenue une mode comme une pathologie aujourd’hui. Il est simple de s’auto diagnostiquer, de se prendre pour les génies qui ont un cœur et l’esprit (qui partent souvent en vrille) alors que certains douillent, souffrent, profondément depuis leur plus jeune âge, au point de se cacher afin de ne pas trop paraître pour ce qu’ils ne sont guère, des êtres certes de lumière, mais en aucun cas de faiblesse, de vulnérabilité au point de se casser, de se briser, de porcelaine leur identité.

Alors vous Madame, Monsieur, qui me/nous voyez fragile.s, je vous réponds catégoriquement NON.

Ce qui fragilise ce sont les actes de cruauté, les actes surjoués, les mauvaises intentions, les mauvaises expériences traumatisantes, celles qui marquent au fer rouge l’esprit, le cœur et le corps aussi, en raison des abus de ceux qui ont compris que gentillesse et ressentir intensément peuvent aller de pair, alors autant devenir à quelque part tortionnaire.

Un vrai NON, imposé, pure, fort et véritable que j’exclame, non pas par caractère mais parce que « le fragile » à trop fait de moi, le docile, la partie lisse, celle tant abusée, m’ayant causé ma perte, la faille à cette personnalité dévouée.

Alors, sachez que malgré l’emballage de mon corps dans ce papier adhésif destiné à protéger les contenus délicats, je montre ce que j’ai envie de montrer, la partie probablement douce, la partie angélique. Mais méfiez-vous, la sensibilité reste une arme absolue, redoutée notamment lorsque l’on prend pour des cons ceux qui aiment pour de bon, ceux qui voient à 360 degrés, ceux qui entendent intensément, ceux qui ressentent les gens, ceux qui goûtent à la vie, jusqu’à sentir l’odeur du bonheur comme ceux des voyeurs, coureurs, castrateurs de cœur. Au point de sortir de ses gonds et d’en faire de la bouillie de toutes leurs conneries, entre jugement permanent et la malveillance une réelle danse.

La danse de cette société qui ne différencie pas toujours le besoin de solidité d’un être fragile et le besoin d’évasion, d’apprentissage, de ressentir à travers l’intégralité des sens, qu’est la sensibilité. La fragilité, demande à être ménagée, mais la sensibilité aucunement, elle doit être rechargée, et bien souvent seule. Ce qui pousse l’autre à juger son isolement. Sensible d’exaltation, de frémissements, de vibrations, de sensations. À en déployer ses ailes, sa créativité, sa musicalité, ses couleurs, voler à travers chaque souffle de la vie sans s’arrêter, même si l’on chute en ayant appris.

Brisé d’aléas du passé, mais nullement de sa personnalité, on se recolle, parfois rapidement, parfois plus longtemps, mais on remonte à cheval, à vélo, au galop, et on prend de l’élan pour tout recommencer en plus grand.

Acquérir le nécessaire pour avancer à travers les tempêtes comme les instants de fêtes, on apprend de son vécu, de soi-même à travers ses traits de personnalité, qui nous conduisent à être feu, soleil, pluie ou accalmie, mais en aucun cas la glace, l’iceberg du froid émotionnel. Les traits de son être, ceux qui définissent finalement ce qui est bon ou pas et cela avant tout pour soi, avant d’accepter ce qui ne nous correspond pas, notamment lorsque sa personnalité se prête à trop donner, avant de soi-même se l’appliquer.

Je vous souhaite de toujours écouter votre instinct, il est aiguisé et il sera vous guider. De faire de votre caractère cette force tranquille, puissante et intense. Je vous souhaite d’aimer, de vous découvrir, de découvrir l’immensité de la vie, ses couleurs, mais aussi de vous imposer lorsque l’on vous fait croire, que vous êtes tout et n’importe quoi à la fois. Le fragile, le trop, en ébullition, la partie lisse, celle qui se cache pour paraître comme ceux qui montrent combien l’espèce humaine reste précaire et insensible aux couleurs que l’on a à offrir, ne reflétant en aucun cas, l’image d’être soi. Soyez fiers, soyez-vous, vive l’hypersensibilité et ses autres aspects. Une véritable force, une alliée innée.

« Vous êtes tout sauf fragile, il faut du courage et de l’audace pour recoller par soi-même ses propres morceaux, au point d’en briller encore plus qu’à son origine ».

Affectueusement,

Full. S

PS : ma perruque, celle qui capture les prédateurs, pour mieux les raconter lors de notre prochain quatre heures. Les cheveux blonds destinés aux anges, le carré celui qui ne rigole qu’à moitié, notamment avec ceux qui usent et abusent des bonnes âmes. L’hypersensibilité cette douceur tranchante lorsque l’on sous-estime ce que ressentir peut engendrer, chez celui qui subit, chez celui qui osera commettre l’intempérie.


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